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Séminaire/atelier international, Université de Koudougou/Burkina Faso, 11 - 12 janvier 2011
Rapport : L’an deux mille onze et les 11 et 12 janvier  s’est tenu dans la salle de conférence de l’Université de Koudougou, le séminaire international sur le thème  « Cinquante ans d’éducation en Afrique Francophone : problématique du partenariat langues nationales – langue française dans l’enseignement ».

Le séminaire  a connu la participation du président de l’Association Francophone d’Education Comparée (AFEC), Monsieur Abdel BABAMOUSSA, d’enseignants  et chercheurs membres de l’AFEC venus du Benin, du Cameroun, de la France, de Madagascar, du Niger, du Sénégal et du Togo, d’enseignants chercheurs des universités de Ouagadougou et de Koudougou, de chercheurs du CNRST de Ouagadougou, de responsables d’ONG et d'associations du secteur de l’éducation, en l’occurrence la coordination région Afrique du groupe de travail en éducation non formelle de l’ADEA et des responsables de l’Œuvre suisse d'entraide ouvrière (OSEO) du Burkina Faso.

Le séminaire  s’est déroulé en quatre (04) grandes étapes : la cérémonie d’ouverture, les travaux en plénière et en ateliers thématiques, l’assemblée constitutive du Réseau africain francophone d’éducation comparée et la cérémonie de clôture.

  1. De la cérémonie d’ouverture

Elle s’est déroulée le mardi 11 janvier sous le haut patronage du Pr  Joseph PARE,  Ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de la recherche scientifique du Burkina Faso.

La cérémonie a débuté avec le mot de bienvenue du Pr PARE/KABORE Afsata, présidente du comité d’organisation dudit séminaire international. Elle a dans son mot remercié l’assistance  pour avoir bien voulu honorer de sa présence la cérémonie et salué d’entrée la volonté et les efforts des membres africains de l’Association Francophone  d’Education  Comparée  (AFEC) et de collègues du Nord qui ont permis d’organiser le séminaire.

Cette volonté pour la présidente est sous-tendue par l’exigence de se retrouver afin de faire un bilan critique des systèmes  éducatifs africains après 50 ans d’indépendances. C’est aussi a-t-elle poursuivi  le souci de souligner l’importance  du partage  d’expérience  et celle du comparatisme dans la recherche de solutions aux problèmes des systèmes éducatifs. Dans cette perspective, la problématique des langues d’enseignement  est une préoccupation récurrente  de l’ensemble des pays africains qui recherche une voie d’éducation  de qualité pour tous ; une éducation  qui valorise  notre culture  et nos ressources. La création du Réseau Africain Francophone d’Education Comparée  (RAFEC) permettra, dira-t-elle,  d’enrichir le champ de l’éducation comparée et  de contribuer à la résolution des problèmes locaux.

Elle a terminé son allocution en adressant ses remerciements d’une part à l’OIF et à l’ADEA pour leur soutien technique et financier au séminaire, et d’autre part au Ministre des enseignements secondaire supérieur et de la recherche scientifique  ainsi que  les autorités présentes à la cérémonie pour leur soutien politique.

La seconde allocution a été prononcée par le  Pr Gérard Bila SEGDA président de l’Université de Koudougou qui, tout en souhaitant la bienvenue aux participants,  a indiqué qu’il était très honoré d’abriter le séminaire au sein de son institution. L’Université de Koudougou, dira-t-il, est  un  des principaux cadres de formation des enseignants en Afrique et également un centre de réflexion et de recherche en éducation. Ainsi pour lui  la thématique du présent séminaire sur  le partenariat  langues  nationales-langue française dans l’enseignement, cadre parfaitement avec les problématiques de recherches prioritaires  dans son université.

Il insistera également sur  la nécessité de faire un bilan critique des cinquante années d’éducation dans les différents Etats africains pour dégager les orientations futures en matière de développement de l’éducation en Afrique.

Il a fini son propos en réitérant l’engagement de toute la communauté universitaire de Koudougou à participer aux travaux et à accompagner le RAFEC dans son action.

Le Pr Abdel BABAMOUSSA, Président de l’AFEC a ensuite pris la parole pour présenter l’Association Francophone  d’Education  Comparée  (AFEC). Il a également fait la genèse du présent séminaire  et de la décision de création du Réseau Africain Francophone d’Education Comparée  RAFEC. Pour finir il a remercié l’ensemble des participants pour leur engagement dans le renforcement de la recherche en éducation comparée.

A la suite du Pr SEGDA, le Pr. Joseph PARE, Ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique, a pris la parole. Il a d’abord  rappelé les enjeux actuels de l’éducation en Afrique en faisant référence aux défis majeurs des systèmes éducatifs du Burkina Faso évoquant les conclusions des Etats généraux de l’éducation et des Assises nationales sur l’éducation. En l’occurrence le développement de l’éducation de la petite enfance, la résolution des goulots d’étranglement que connaît le développement de  l’enseignement primaire et post-primaire, la réduction des disparités de genre et de zone, la satisfaction de la forte demande en éducation et la résorption des déficits d’enseignants.  Il a ensuite souligné les efforts du Burkina Faso en vue  d’améliorer son système éducatif et de permettre l’accès de tous à une éducation de qualité pour servir de levier au développement humain durable. Le pays, dira-t-il, s’est engagé depuis 2007 dans une réforme globale de son système éducatif  afin  d’améliorer de manière conséquente sa qualité, sa pertinence, son efficacité et surtout l’accès de tous à l’éducation par la gratuité de l’éducation de base.

Eu égard à ce constat il a souligné l’intérêt du Burkina Faso en matière de recherche comparée en éducation en vue notamment de favoriser l’émergence d’approches innovantes permettant de faire face aux exigences de développement de son système éducatif et aux besoins des populations ainsi que de nos contextes culturels.

Pour lui, la réflexion  sur le partenariat des langues nationales et de la langue française  dans l’enseignement, objet du présent séminaire international est une dimension essentielle pour l’amélioration du système. C’est d’ailleurs pourquoi il s’est investi personnellement pour que le Burkina Faso, en vue de  la valorisation des langues nationales, inscrive dans sa loi d’orientation de 2007 ces langues comme langues d’enseignement au même titre que le français.

Réaffirmant l’importance de la recherche en éducation dans le processus de développement, il a salué le projet de mise en place du  Réseau africain francophone d’éducation comparée (RAFEC), et affirmé que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour apporter son soutien dans la conduite des activités. Ensuite il a déclaré  ouvert le séminaire.

  1. Du déroulement des travaux

Les travaux ont débuté avec une session plénière sur le bilan critique des systèmes éducatifs africains sur la question des langues.

La séance, présidée par le Pr Henri Folliet s’est ouverte sur une conférence inaugurale  de  M. ILBOUDO Paul Taryam de l’Œuvre Suisse d’Entraide Ouvrière (OSEO) sur l’expérience burkinabè de l’introduction des langues nationales dans le système éducatif. Partant du constat des mauvaises performances du système éducatif classique fait par les Etats Généraux de 1994,  l’OSEO met en expérimentation une Education Bilingue en se basant sur l’hypothèse selon laquelle l’acquisition et la consolidation des compétences de base dans la langue que l’enfant maîtrise lui permet d’avoir une meilleure acquisition de toutes les autres compétences même dans une deuxième langue. C’est ainsi qu’une nouvelle forme d’éducation préscolaire, primaire et au collège est pensée, l’Education Bilingue, qui donne une place de choix aux langues nationales avec des caractéristiques novatrices telles que les activités manuelles et pratiques liant l’acte d’apprendre à celui de produire, la remise en selle des valeurs culturelles locales, la réduction de la durée de l’éducation de base, etc. A la suite de cette communication, un débat a été fait autour de préoccupations telles que le choix de la langue nationale à introduire, la question de l’influence de l’utilisation de la langue française et celle de la scolarisation précoce sur les mauvaises performances des élèves du système classique. Il en est ressorti  qu’il n’est pas question de choisir une langue ou quelques langues nationales mais d’apprendre à chaque enfant dans la langue qu’il maîtrise ce qui, bien plus que la scolarisation précoce, favorise les meilleures performances des élèves. Selon le Président de l’AFEC M. Abdel Baba-Moussa dans sa présentation de l’expérience du Bénin, le manque de volonté politique et de conviction des acteurs politiques chargés d’animer le secteur, doublé d’une instabilité institutionnelle, empêche la mise en œuvre effective d’actions concrètes pour réaliser une articulation entre Alphabétisation en langue nationale (AELN) et système éducatif.

Pour  Mme BOLY BARRY Koumba, coordonnatrice du Groupe de travail de l’Education Non formelle de l’Association pour le développement de l'éducation en Afrique (ADEA), le manque de vision pour l’éducation en langues nationales et particulièrement le manque de  conviction quant à sa nécessité dans une approche holistique de l’éducation ne semble pas être une question d’actualité seulement au Bénin, mais un problème qui se pose à toute l’Afrique. Elle a donc orienté son intervention sur la nécessité d’une vision holistique en éducation intégrant la diversité des formes et pratiques en éducation afin, selon son expression, « de trouver à chaque être humain dans chaque type d’espace, des opportunités d’apprentissage ». Elle a invité à un partenariat avec le GTENF/ADEA, le RAFEC qui rassemble les chercheurs africains intéressés par la comparaison des pratiques et des politiques d’éducation  en Afrique ou pour l’Afrique.

Le Professeur Moussa DAFF  a ensuite pris la parole pour la présentation de l’ouvrage de Jean-Louis CALVET titré « Histoire de la langue française en Afrique ».  Il a ensuite enchainer avec sa communication Perspectives africaines des démarches comparatives en contexte d’éducation linguistique plurilingue : réponse à un enjeu francophone africain. Il y est question de l’intérêt du plurilinguisme pour l’Afrique qui est le territoire où l’on retrouve la plus grande concentration de langues. Toutes les langues européennes y rencontrent la multitude de langues locales africaines. Le monolinguisme avec comme pour seule langue de scolarisation le français, ayant démontré en fait ses insuffisances, il est nécessaire de plutôt voir dans la pluralité des langues en Afrique, un élément de développement. Dans ce sens, il recommande que nos langues ne soient pas seulement des langues d’alphabétisation mais soient désormais des langues de scolarisation.

Cette session a pris fin après trois heures d’échanges qui ont introduit les participants à des réflexions thématiques dans l’après-midi.

Après une pause  les travaux se sont donc poursuivis en groupe autour des quatre ateliers thématiques ci-après :

i) langues enseignées et langues d’enseignement ; ii) Articulation formel-non formel-informel ; iii) éducation des adultes et des femmes ; iv) Centralisation-décentralisation.

Les travaux dans les ateliers ont consisté en la présentation des différentes communications inscrites, présentation suivie de débats transversaux. Les différents ateliers ont pu parvenir ainsi à des analyses assez précises des dimensions fondamentales pour l’amélioration de l’éducation en Afrique et dégager des perspectives de recherches pluridisciplinaires.

 

L’atelier thématique 1 (Langues enseignées et langues d'enseignement) sous la présidence du Pr Moussa DAFF a dégagé  entre autres les aspects suivants  :

-          la prise en compte de  la trans-grammaticalité des langues africaines, comme voie d’exploration des chercheurs africains qui se doivent de se comporter en explorateurs des langues, afin d’assumer leurs 50 ans d’âge ;

-          l’investigation de nouvelles avenues capables de nous convaincre de croire à l’utilité de nos langues nationales pour le développement de nos pays ;

-          la nécessité  pour les intellectuels de briser les chaînes mentales de la colonisation par rapport aux langues et à la culture.

La question fondamentale est de savoir comment changer le regard des intellectuels africains sur les langues africaines et leur enseignement.

 

L’atelier thématique 2 (Articulation formel-non formel-informel) sous la présidence du Pr HOUNMENON Jean-Claude a permis :

-          de montrer qu’il faut dépasser les cadres de l’école pour une éducation intégrée orientée vers le développement durable, plus qu’un système, l’éducation devient un contexte d’action ;

-          d’insister sur la nécessité d’une bonne articulation entre le formel et le non formel dans la recherche d’un contexte d'action éducative plus intégré et plus performant ;

-          d’affirmer que l’école doit nous permettre d’étudier notre histoire, nos coutumes, de comprendre le système informel et de construire une pensée stratégique afin de définir des objectifs précis à atteindre dans tous les secteurs. Il faut reconsidérer  les savoirs endogènes sur  les métiers et les artisans et les transformer en savoirs intelligibles, afin d’amorcer le développement ;

-          et  de souligner la nécessité d’un examen des politiques au service de la promotion de l’apprentissage des langues nationales et de la diversité linguistique.

 

L’atelier thématique 3 (Education des adultes et des femmes) sous la présidence du Pr Pierre FOUNKOUA a permis :

-          de montrer  qu’à travers les familles, les clans, les collectivités ainsi que les tribus, les ethnies et les couvents, l’éducation et la formation sont permanentes  et procèdent sur un fond de pédagogie différenciée ;

-          de montrer que l’alphabétisation des femmes a connu des fortunes diverses marquées d’abord par une certaine timidité (avant 90), suivie ensuite d’un engouement imputable à un travail de sensibilisation et des stratégies de promotion en leur direction ;

-          de suggérer,  pour maintenir durablement les acquis, de mettre un accent particulier sur les stratégies à même de soutenir les filles et des femmes pour leur réussite au-delà de leur participation quantitative ;

-          d’observer  l’émergence  de nouveaux rapports entre le français et les langues nationales, à travers les tentatives de croisement et de fertilisation mutuelle des deux sous-systèmes .éducatifs issus des expériences d’éducation bilingue dans trois pays.

L’atelier thématique 4  (Centralisation-décentralisation) sous la présidence du Pr Maxime Da-Cruz a, entre autres, montré :

-          que la décentralisation constitue une opportunité pour résoudre la problématique de l’éducation et faire face aux exigences du développement au niveau locale. Il est nécessaire pour ce faire d’opérer des renforcement des cadres institutionnels pour conduire à l’élaboration d’une éducation de qualité ;

-          la naissance d’un néo-libéralisme dont la conséquence directe est le désengagement des pouvoirs publics. Ce désengagement laisse la chance aux collectivités de s’autogérer, d’où la naissance de la décentralisation. Il a été souligné l’importance de l’éducation dans la décentralisation et le fait qu’elle constitue une chance pour promouvoir une éducation de qualité. Toute reforme doit prendre en compte les réalités, les valeurs et les aspirations du milieu ;

-          que malgré les différentes réformes, l’intégration des langues nationales dans l’enseignement se heurte à des difficultés de deux ordres : le désintérêt des enseignants à l’égard des élèves apprenant les langues nationales et le désintérêt des apprenants eux-mêmes.

Les travaux de la journée ont pris fin aux environs de 17h30.

 

Le Mercredi 12 janvier 2011, les travaux ont débuté à 9h avec une table ronde synthèse autour du thème « Trajectoire occident et Afrique   francophone, vers une éducation comparée » sous la présidence du Pr Amadé BADINI. Trois communications ont ponctué cette table ronde synthèse.

 

Le Professeur Henri FOLLIET a pris le premier la parole pour sa communication sur le   thème « Quelle éducation comparée aujourd’hui pour l’Afrique francophone ? ». Il a  relevé la nécessité de la mise en place du Réseau Africain francophone d’éducation comparée, a expliqué ses exigences ainsi que les problèmes que connaissent la plupart des Etats africains. Pour le conférencier, vu les spécificités que présentent les systèmes éducatifs des pays du Sud, la création de ce réseau permettra de résoudre les problèmes caractérisant nos systèmes éducatifs, sans que cela n’isole cependant le RAFEC de l’échelle internationale.

Il a par ailleurs souligné que dans le contexte de mondialisation actuelle et vu le poids de l’héritage colonial dans nos systèmes éducatifs, nos Etats doivent faire face à quelques exigences en se démarquant de l’idéologie politique, en adoptant une attitude critique et surtout en favorisant les échanges entre chercheurs, entre chercheurs et praticiens.

Pour lui, l’éducation comparée en Afrique ne doit pas se contenter seulement de recherches empiriques mais doit aussi procéder par recherche-action, prenant en compte la complémentarité entre l’éducation formelle et l’éducation non formelle.

A sa suite le Pr PARE/KABORE Afsata a présenté  la communication « Rôle de l’éducation comparée dans le partage des savoirs et le partenariat », du professeur Malika TEFIANI d'Algérie empêchée. Cette communication a mis en exergue la question de la formation aux échanges et le rôle de l’éducation comparée d’une part, et d’autre part la notion de compétence interculturelle, ainsi que d’écologie du savoir. Pour le professeur TEFIANI la culture universelle n’existe qu’à partir d’un partenariat entre les différents pays et ce doit être le cas au sein de l’AFEC pour continuer à enrichir l’éducation comparée. Ce partenariat exige un engagement de chaque institution, la connaissance des partenaires, le choix d’une langue de communication, la reconnaissance réciproque, la construction de projets, la découverte de valeurs.

Après ces deux communications, les échanges ont porté sur la place de l’éducation comparée dans l’éducation moderne, sur la question de la formation en éducation comparée, la place de la recherche fondamentale dans l’éducation comparée.

 

Enfin la dernière communication a été présentée par Abdel R. BABA MOUSSA sur les Enseignements tirés de la première journée de l’atelier pour la recherche en éducation comparée en Afrique francophone. Dans sa synthèse, il a relevé les différentes problématiques recensées dans les ateliers. Il s’agit notamment de la problématique de la formation, de l’adéquation des programmes, des nouveaux besoins en termes de langues, de la question de gouvernance dans les pays, de la pertinence de l'expression même de "système éducatif" et du statut de chercheur dans la recherche en éducation comparée en Afrique. Il a ensuite insisté sur  la nécessité de la création du RAFEC qui va permettre de développer une recherche pragmatique, de tirer des éléments en vue d’améliorer les pratiques d’une part, et d’autre part permettre le partenariat entre chercheurs, entre chercheurs et praticiens et enfin entre chercheurs et décideurs.

En guise d’ébauche d’orientation du contenu du RAFEC, les participants ont fait des propositions pour enrichir les axes de recherche pour ce réseau. La table ronde  a pris fin avec des propositions pertinentes, l'idée étant d'approfondir la question de l'enseignement bi-plurilingue tout en s'ouvrant à d'autres champs de recherche. La volonté de l'ADEA de nous accompagner dans ce sens a été réaffirmée.

 

 

  1. De l’assemblée générale constitutive du RAFEC

Après une pause, les travaux ont repris avec  la lecture et l’amendement des statuts et règlement intérieur du RAFEC.

Les participants ont procédé à plusieurs amendements de fond et de forme. Le statut et le règlement intérieur ont été adoptés par l’assemblée sous réserve de la prise en compte effective des amendements.

A l’issue de l’adoption des textes régissant l’association, l’assemblée a élu le bureau du RAFEC  composé ainsi qu’il suit :

Ø  Présidence : Burkina Faso / Pr Afsata PARE/KABORE

Ø  1ère Vice Présidence : Sénégal / Pr Moussa  DAFF

Ø  2ème Vice Présidence : Cameroun / Pr  Pierre  Marie NJALE

Ø  Secrétariat Général : Bénin / Pr  Abdel  BABA MOUSSA

Ø  Secrétariat Général adjoint : Burkina /  Dr  SAWADOGO François

Ø   Trésorier général : Benin / Dr Clément BAH

Ø  Responsable chargé de l’information : Madagascar/ Pr LUCIE  RABAOVOLOLONA

Ø  Responsable à l’organisation : Bénin / Dr  Clarisse NAPPORN

 

COMMISSAIRES AU COMPTES

Ø  Pr  Kalifa TRAORE

Ø  Madame Minata Béatrice TAPSOBA/OUEDRAOGO

 

COORDINATIONS RAFEC

Ø  ALGERIE : Pr Malika TEFIANI

Ø  BENIN :  Pr Gervais KISSEZOUNON

Ø  TOGO :  Pr Jean-Claude HOUNMENOU

Ø  CAMEROUN : Pr Pierre FONKOUA

Ø  BURKINA  FASO : Dr  Juliette  KABORE/OUEDRAOGO

Ø  SENEGAL : Pr Moustapha TAMBA

Ø  MADAGASCAR :   Pr Monique RAKOTOANOSY

 

 

  1. De la cérémonie de clôture.

La cérémonie de clôture est intervenue le mercredi 12 janvier 2011 à 20 heures sous la présidence de Monsieur BARRO Missa, vice-président de l'Université de Koudougou représentant le président de l'université.  Elle connu  trois  articulations : la mention du rapport général qui doit être envoyé par mail aux participants pour amendements avant finalisation et diffusion, l’allocution de la présidente élue du RAFEC et l’allocution de clôture  du représentant du président de l'Université de Koudougou.

Les rapporteurs généraux

Dr François SAWADOGO

Dr BAH Clément

 

 

Pour les rapporteurs, Dr François SAWADOGO

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