On ne peut s’intégrer, et donc se développer harmonieusement et dans la paix, sans les langues maternelles. Sans elles, point de salut. C’est ce constat qui est sorti de l’atelier sous-régional sur la langue peule. Et c’est ce qu’a compris l’Union africaine en créant l’Acalan.
Atelier ouest-africain sur le Pulaar: Le salut de l’Afrique par les langues nationales
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